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Les lecteurs attentifs du bulletin municipal ont découvert quelques justifications concernant le raccordement du réseau d’eau potable de La Chapelle à celui de La Chalp.
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Ce torrent a décidément un caractère fantasque. Depuis que son lit a été barré par une digue en terre sensée dévier les avalanches en 1980, il n’arrête pas de faire des siennes. Il aura attendu trente-huit ans avant de se fâcher pour de bon.
Avant la coulée mémorable de 2015, il avait bien montré des signes d’agacement en envoyant à plusieurs reprises de l’eau et des pierres dans les terres histoire de montrer qu’un torrent sans lit ça ne ce fait pas. Après ces coups de semonce, Les Humains avaient cru pouvoir le calmer en construisant une petite murette pour tempérer ses ardeurs. Cette manifestation dérisoire de la puissance Humaine a dû l’énerver pour de bon, car c’est avec des milliers de tonnes d’eau et de tout ce qu’il a trouvé sur son chemin qu’il est revenu à la charge ! Les habitants du Désert se souviendront longtemps de ces coulées de laves torrentielles qui ont ravagé quatre hectares de bonne terre cultivable péniblement gagnée par nos aïeux
L’Homme ne s’avoua pas vaincu, il fit donner la charge avec force déploiement d’engins chenillés qui eurent tôt fait d’aplanir le terrain sans pour cela le rendre cultivable.
Des dizaines de milliers d’euros furent dépensés en pure perte, car le torrent sachant qu’il aurait le dernier mot repris le dessus en lançant une attaque de cavalerie formée de gros blocs charriés par des eaux furieuses qui eut tôt fait de ruiner le travail des bulldozers réalisé exactement trois ans plus tôt.
http://bonne-info.eklablog.net/nouvelle-alerte-a-valjouffrey-a146936532
Il semblerait que cette dernière leçon ait finalement atteint le cerveau Humain au point qu’il semble avoir compris qu’on ne prive pas impunément un fougueux torrent de montagne de son lit. L’Homme devra donc mobiliser sa matière grise et avec l’humilité qui s’impose face à la nature, étudier une solution intelligente et rationnelle... À suivre…
En attendant de nouvelles dispositions le concernant, décidément le facétieux torrent s’est exprimé par sa branche droite, celle qui traverse le village de haut en bas, il est tout simplement sorti de ce passage alloué pour emprunter la rue qui le borde sur son flanc droit, il s’en est allé par cette voie interdite semer la panique dans le village. Aussitôt l’Homme courroucé par cette attaque inattendue a fait donner de la pelle à chenille en urgence pour creuser le passage et déposer les matériaux retirés en barrage sur le bord droit, réduisant la rue à la portion congrue. Nous apprendrons ensuite qu’une somme de 50000€ est prévue pour endiguer le torrent à cet endroit avec un mur maçonné sur une distance de 100 mètres.
Le débit régulé en amont à une valeur voisine de ce qu'il est sur la photo favoriserait la conservation et le développement d'un écosystème. Dans le cas présent toute vie a été anéantie sur 100m!
Est-ce bien nécessaire ? Ne serait-il pas plus efficace et gratuit de poser un limiteur de débit à l’entrée du tube situé sous le pare-avalanche ? Cela permettrait d’assurer un débit compatible avec la capacité du lit actuel. Quel que soit le volume d’eau qui se présenterait, l’excédent serait évacué par la tourne vers le chenal qui sera inévitablement aménagé sur le cône de déjection pour diriger les crues à venir vers la Bonne.
Le torrent a montré ce dont il était capable, l’Homme devra en tenir compte.
La solution proposée aurait le mérite d’économiser 50000 €, somme non négligeable pour une petite commune de montagne. Restera encore l’abaissement et l’élargissement de la sortie de la tourne, mesure de bon sens, qui devrait lever le risque de son engorgement suivi d’un déversement de lave torrentielle sur les habitations situées en aval !
La Bonne Source suggère que les sommes économisées soient employées à sauver ce qui peut l’être encore de la chapelle-église St Anne. Cette chapelle d’une richesse patrimoniale et touristique exceptionnelle s’abime d’année en année dans une décrépitude navrante, accompagnée par celle des nombreuses fontaines-lavoirs-abreuvoirs.
L'urgence n'est pas forcément toujours liée aux évènements les plus spectaculaires.
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À DÉCOUVRIR ABSOLUMENT
Une nouvelle voie subtile accessible à tous!
Le refuge de Font-Tubat a reçu une visite atypique. Il s’agit de l’auteur d’un roman psychologique qui a pour décor la vallée de Font-Turbat.
Le titre est tout simplement: LE REFUGE, son auteur : Philipe HIRIART
Pourquoi avoir choisi ce lieu ? Probablement pour son isolement, et aussi pour la puissance de l’ambiance qui se dégage de la montagne. Cet endroit était connu de l’auteur pour avoir gravi l’Olan par la prestigieuse voie Couzy-Demaison
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L’auteur se trouve actuellement quelque part sur le pacifique sur son voilier cap sur la Polynésie.
Nous lui souhaitons des conditions de navigation favorables dans l’alizé. Les traversées océaniques prennent beaucoup de temps, peut-être en profitera-t-il pour mettre en chantier un nouveau roman pour nous régaler ?
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Une réunion pour rien !
Dès l’ouverture de la séance le ton est donné : intimidations et menaces ont fusé à l’encontre des personnes qui se sont donné la peine de s’exprimer par écrit sur les évènements du mois de juillet.
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L’information qui vient d’en haut !
Une alerte pollution est affichée au tableau situé sous le bassin-lavoir de la place du village du Désert.
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